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L'ESUP est une école supérieure de commerce et de management formant plus de 2000 étudiants en France. Les campus ESUP sont accessibles post-bac et dispenses des BTS (Bac+2), Bachelor (Bac+3) et Mastère (Bac+5).
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Publié le 14 mai 2021
Ils sont sans doute la frange de la population à avoir le plus souffert des multiples restrictions liées à l’état d’urgence sanitaire. Multitude silencieuse, les étudiants ont subi non seulement la dégradation de leurs conditions d’étude, mais le fort ralentissement du secteur de l’emploi étudiant. De confinement en déconfinement puis en reconfinement, les soubresauts économiques ont privé nombre d’entre-eux de ressources nécessaires à la vie quotidienne et au financement de leurs projets.
Un an après, où en est-on ? C’est la question posée par le sondage Fage-Ipsos qui vient d’être publié. La Fédération des Associations Générales Etudiantes pointe : “L’urgence d’agir pour ne pas sacrifier la jeunesse”. Après les impacts sur la santé et le décrochage, cette étude fait état de grandes difficultés dans les démarches de recherche d’emploi. L’addition de ces trois obstacles nourrit un sentiment de grande inquiétude face à l’avenir.
Certains étudiants ont certes pu bénéficier d’une recrudescence d’activité (dans la grande distribution, par exemple). Mais ils ne sont pas majoritaires, loin s’en faut. Le sondage Fage-Ipsos établit que 59% des jeunes de 18-25 ans ont vu leur activité salariale réduite, interrompue ou stoppée depuis le début de la crise. En effet, la liste des métiers qui recrutent des étudiants se superpose malheureusement assez bien à celle des secteurs les plus concernés par les obligations de fermeture : hôtellerie, restauration, tourisme, événementiel, garde d’enfants, animation sportive…
Trouver un job étudiant à l’ère du Covid relève du défi et 48% des sondés se sentent menacés de précarisation.
Ce risque semble contenu, avec une proportion minoritaire de jeunes “souvent confrontés” à des difficultés financières importantes : alimentation (20%), loyer (21%), santé (11%), crédit (13%). Le panel des aides permet sans doute de contenir l’effet de la crise : bourse du CROUS, aides au logement, aides régionales, aide au mérite, aide à la mobilité, repas à 1 euro… La liste est fournie. Mais…
Lueur au bout du tunnel : l’annonce du réveil de pans entiers de l’économie pour fin mai ! Chaque annonce de déconfinement place de nombreux pourvoyeurs d’emplois étudiants dans les starting-blocks. La reprise se prépare, le recrutement se remet en place et les opportunités sont déjà en ligne, comme dans le secteur de l’hôtellerie-restauration, mais pas seulement. Pour y donner accès, les acteurs de l’emploi se mobilisent. Ainsi, Actual, spécialiste de l’emploi sous toutes ses formes, y-compris du CDI-intérimaire, du temps partagé, de l’intérim et de l’alternance, tient à disposition des candidats près de 4 000 offres d’emploi, parmi lesquelles des opportunités adaptées aux étudiants. Ces derniers ne sont pas seuls pour reprendre pied dans le monde de l’emploi ! Le maillage des agences Actual sur les territoires est une porte d’entrée.